Pierre Desproges, de mémoire.
Bon, vous allez encore dire que papa Wrobly frise la sénilité précoce, et vous n'aurez peut-être pas tort... Mais j'ai encore pleuré comme une madeleine pendant que le couple de moutards de 6 ans à mes côtés restaient imperturbablement sérieux comme des papes.
"On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux".
J'avais eu plusieurs sons de cloche, dont un très sévère sur cette "trahison" de Saint-Ex (bon, ça venait d'un lecteur de Télérama), mais moi je l'ai trouvé vraiment bien. Et j'ai retrouvé fidèlement le Petit prince de mon enfance, avec les dessins, l'écriture, la graphie, l'esprit et la poésie de Saint-Ex. Evidemment pas copié-collé, mais mis en abyme. Une seule chose m'a manqué, la voix de Gérard Philppe, surtout quand il dit, avec une infinie tendresse : "Hein mon petit bonhomme..."
Et puis pour une fois que ma dernière actu ciné est synchro avec l'actu ciné...
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