Debussy, encore, naturellement. Mais par Maurice Gendron ! Un grand classique interprété merveilleusement, par un des quatre mousquetaires français du violoncelle du XXème siècle, trop oublié dans son propre pays.
N'hésitez pas à écouter, visionner et réécouter les vidéos suivantes de ce magnifique musicien (et tout ce que vous pourrez trouver de lui). C'est un cadeau que je vous fais avant de partir quelques jours voir la mer (pas seulement celle de Debussy).
A bientôt !
Merci pour ce beau cadeau et cette découverte, mais j'enrage de ne pas comprendre le calembour du titre de ce billet !
RépondreSupprimerScusi George, encore ce phénomène étrange, tes commentaires ne sont pas relayés sur ma boîte mail...
RépondreSupprimerBref, ce n'est pas un calembour, pour une fois, mais un contrepet ! A toi de jouer !
D'ailleurs il y en a un autre ici, dans ma réponse à Jules. Je ne sais pas ce qui se passe, je suis inspiré dans cette discipline en ce moment...
RépondreSupprimerOuaipe, Wrob, pigé mais il est pas régulier, ton contrepet (le verbe "brander" n'existe pas, que je sache…)
RépondreSupprimerPourquoi "brander", cher George ? Si tu permutes le "G" de Gendron avec le "b" de "debout", tu découvres un verbe bien présent dans le Robert, si j'ose m'exprimer ainsi, même si la morale le réprouve...
RépondreSupprimerDésolé, j'ai fait une coquille hier (décidément !) C'est "bandre" que j'aurais dû écrire, verbe du 3ème groupe qui se conjuguerait sur le modèle de "prendre", par exemple : en effet, il manque le "E" entre le "D" et le "R", dans le nom Gendron, pour que le contrepet soit régulier.
RépondreSupprimerMais bon, tu vas dire que je chipote…
Ok ! compris. Moi j'ai plutôt cherché la concordance phonétique, comme en général on élide le "e" dans un futur de verbe du premier groupe (on entend souvent "nou manjron" par exemple, au lieu de "nous manjeuron")... Je débute dans ce sport !
RépondreSupprimerMerci d'avoir joué et à bientôt !