Bon, pour ne pas être taxé d’élitisme, voici quelques poèmes ou chansons mainstream qui m’ont touché, de près ou de loin.
Bien sûr, il s’est laissé convertir par l’Eglise du Charlisme. Mais quelqu’un dont Eric Zemmour suppure de l’œuvre : "Dans le fond, c'est une espèce de dissertation d'un adolescent de 4e avec le sentiment qui va avec" ne peut pas être totalement mauvais. J’ai entendu ce slam par hasard, et c’était bon. Sur une ville que j’arpente quasi quotidiennement et où je passe un quart de mon temps.
Allez, et pour ne pas être accusé de parisianisme, une autre riante banlieue, où il fait bon vivre, et mourir. Chanson on ne peut plus populaire j’imagine (j’aime la polysémie de ce terme ! quel est le point commun entre Michel Sardou et Keny Arkana, par exemple ?), mais ne regardant pas la radio et n’écoutant pas la télévision, j’ai découvert ce titre hier par une collègue qui l’entonna lors d’un petit spectacle annuel où il était question de galette républicaine (pouah !). Je connaissais le chanteur, qui avait réussi à m’émouvoir par le passé, dans l'un de mes moments de sensiblerie sénile, notamment quand il évoquait son papa. Ici, il évoque sa chouette banlieue d'enfance.
Allez, et pour ne pas être soupçonné de franchouillardise, une petite incursion dans les quartiers populaires d’outre-atlantique, ou la violence fratricide du prolétariat frappe aussi :
Et pour finir une élégie à la paix. Afin qu'on ne m'intente pas un procès en idiotisme et irresponsabilité, je tiens néanmoins à avertir nos aimables lecteurs que certains propos peuvent heurter la sensibilité des plus intransigeants et vertueux antithéistes d’entre nous :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Y a un tour de parole !