mercredi 6 juillet 2016

Un américain




Pour faire écho à l'émission Dans l'herbe tendre de lundi, dont le thème était Les Amériques, voici une chanson géniale consacrée à un américain gaucher (?), bandit a priori sympathique par sa guerre aux banques et aux sherifs, et sa liberté galopante, même si je ne connais pas sa biographie exacte, notamment celle de Jack Spicer (qui n'a même pas sa fiche Wikipedia !) dont on entend des extraits en anglais ici. Si vous avez des infos sur cette bio du Kid et son auteur, je suis preneur.

Pour rester dans la radio, on peut écouter une interview de l'excellent chanteur, guitariste et boeufer Rodolphe Burger sur radio Nuit Debout.

Et pour rester dans la chanson, un petit jeu. Un auteur-compositeur-interprète se cache dans cet extrait de la vie de William Harrison Bonney, sauras-tu le découvrir ?

20 commentaires:

  1. C'est pas d'jeu, Wrob : le nom du folkeux se lit dans le titre de l'extrait !

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  2. C'est vrai, ça. Distrait, Wrob ?
    J'aime bien Peckinpah mais j'avais trouvé ce film un peu longuet.

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  3. Comme Gérard ?
    Mais outre ce pet qui n'pua, y'a aussi George Roy Hill et — moins connu — Luc Moullet.
    Et Dodge City, si mes souvenirs sont bons.

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  4. Houla ! Ça m'a l'air d'être quelque chose le film avec Léaud. On va rechercher ça et si c'est mauvais, adieu Moullet !
    Sinon, je ne me souviens pas de Billy the Kid dans Dodge City (celui avec Erol Flynn) par contre dans "Le Gaucher" de Penn avec Paul Newman, là...

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  5. Non, non, pas distrait, c'est en toute connaissance de cause que j'ai proposé un jeu qui n'en était pas un, juste pour attirer l'attention sur la présence de Robert Allen Zimmerman (j'ai d'ailleurs un merveilleux souvenir de ce western, et particulièrement du personnage de Dylan, ambiance spaghetti avant l'heure). Par ce vrai-faux jeu, je pointais les correspondances du post entre chanson (DLHT), Amérique (thème de la dernière), chanson (Burger), Amérique (le Kid), chanson (Dylan)... ad libitum... Mais si vous aimez vraiment jouer, je vais penser à vous, tenez vous prêts.

    Oui, Léaud en Willam Bonney, c'est assez rococo, un peu comme John Wayne dans le rôle de Marius Jacob (ou Louise Michel). Le contre-emploi est plaisant. Je vais déjà lire le texte avant de tenter le film...

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  6. Les photos me font penser à ce film, de quatre ans son cadet. La patte de l'époque...

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  7. 'tain ! je savais même pas que Clementi — autre acteur bien barré, soit dit en passant — avait fait des films !

    Pour en revenir à Léaud, le Moullet est assez plaisant, dans mon souvenir vieux de trente ans (j'ignorais qu'il y eut un texte), mais notre Antoine Doinel a joué à la même époque dans des trucs encore plus chtarbés, par exemple les films de Diourka Medveczky : Paul ou Jeanne et le moto

    Désolé, Jules, je me suis complètement mélangé les pinceaux : j'ai confondu Les conquérants avec Règlement de comptes à OK Corral, ou de surcroît il n'est même pas question du Kid mais de Doc Holliday !

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  8. Je parlais du texte que tu as mis en lien, l'analyse critique du film de Moullet. Mais tu es bien sûr que son prénom est Luc ? Ce n'est donc pas le même que Guy, qui avait défrayé la chronique à la première d'un de ses films je crois, restée mémorable dans les annales comme la "journée des tomates".

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  9. Urk ! en effet, j'ignorais aussi ce glorieux épisode de notre histoire nationale !
    Bref, Christian Bonnet, Jacques Blanc, bonnet blanc et blanc bonnet, tous [œufs] pourris (ou mollets) ?
    Mais non, je ne suis pas de cet antiparlementarisme-là, œuf corse (comme aurait dit Pasqua) !…

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  10. À la réflexion, ce qui se rapproche un peu du Moullet, plus récemment, ce serait les ouestèrnes invertis d'Alain Guiraudie.

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  11. Gérad Longuet, Guy Mollet, y'a du beau monde par ici.
    Pas mal vue la comparaison avec Guiraudie.
    Peut-être ce genre barré se rapproche-t-il des films de Jean-Max Causse dont le "franc-tireur" avec Léotard (pas "l'Encorné", son frangin buveur et chanteur à ses heures) complètement foutraques.

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  12. On va pas faire longuet mo y aller mollet : mieux vaut le Guy roadie que le gars roadie.
    Pas vu cet Encorné-là, à mon tour de me mettre en quête.

    Je tiens la version du Bateau espagnol par Philippe pour une splendeur, supérieure à celle de Léo.
    Au fait, vous l'avez-t-y jamais passé, Philippe, à HT ?

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  13. Oh ! Oui, ils l'ont passé. Je me souviens notamment d'une version d'Aragon par Ferré de "Je chante pour passer le temps". Jules préférait même la version de Léo (Philippe) si je me souviens bien, alors que je préfère celle de Léo (Ferré), enfin vous me comprenez quoi !

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  14. Surpris par ailleurs que vous n'ayez pas participé à la dernière énigme George. Moi je l'avoue pour une fois, j'aurais séché remarquez... je n'aurais pas pu apporter mon tribut à la découverte de cette tribu.

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  15. Moi non plus, Wrob, d'autant que j'en connaissais à peine l'existence. Mais surtout, ma connexion était tellement pourrave que j'ai a peine compris le sens de la question !

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  16. Dear George
    L'encorné était une référence à un fait-divers (l'assassinat d'une député du Var) auquel un ministre était plus ou moins mêlé. Le frangin dudit ministre, on a passé son excellent "Bateau espagnol" à l'émission sur les transports.
    Salud !

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  17. Ouaipe, je voulais parler du Franc-tireur, désolé.
    Mais je ne me souviens pas d'une implication dudit ministre dans l'affaire Yann Piat.
    En revanche, ce qu'on oubliera jamais, c'est son combat héroïque pour le "mieux-disant culturel" (hé ouais, c'était l'époque de la jargonnerie à tout-va, comme le "ni-ni" et l'apparition des "dommages collatéraux", entre autres)…

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  18. "ce qu'on n'oubliera", pan sur le bec !

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  19. Ah ? Le Nini je voyais ça plus tôt, à la fin des 80's, mais pas les mêmes.

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  20. Bof, un siècle de plus ou de moins, c'est peau d'balle !

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