Un seul regret, c'est trop court. J'ai été vraiment surpris et frustré à la fin du film, j'aurais bien aimé encore passer une heure et demie à trembler, sourire et apprendre avec elles.
Ma dernière actu ciné, mais pas la moindre.
Rien à voir, mais on reste dans l'actu, une citation :
« L’Etat ne cèdera jamais face aux intimidations d’une minorité d’individus ultra-violents*, notre pays est un Etat de droit. Une fois que la justice a tranché, ces décisions doivent être mises en oeuvre et le gouvernement ne peut pas accepter qu’une minorité d’opposants radicalisés fassent obstacle à l’intérêt général et à l’application des décisions de justice. »
Manuel Valls à propos dez zadistes de NDDL.
Manuel Valls à propos dez zadistes de NDDL.
Que les botanistes du parti des tritons crêtés se le tiennent pour dit !
* C'est nous qui soulignons.
Dormez tranquille braves gens, Rodomont serre le poing et brandit le menton !
Pour terminer, et pour faire le lien avec le début de cet article, mais aussi, après le massacre de vendredi par des monstres (il faut stopper Frankenstein mais qui est-ce ? où est-il ?...), des nazis (bing ! et un point Godwin en moins sur mon permis de maudire ! c'est l'émotion) dont il faudra bien qu'on découvre quel a été le traité de Versailles si on veut éviter les générations spontanées futures, mais en attendant, donc, aussi parce que j'ai envie d'avoir treize ans dans le canapé de chez ma mère à me mater La Dernière séance dans l'insouciance, également parce qu'il est fédérateur, mainstream mais sympa, voici une chanson de papa Schmoll (cette phrase est compliquée, à l'image de notre temps, j'espère juste qu'elle est correcte, dans le cas contraire je vous prie par avance de m'en excuser) :
Dernière minute : un bon pote me cite cette chanson que lui inspire la réalité actuelle. J'espère que ça fera plaisir à Jules aussi, qui trouve qu'il n'y a pas beaucoup de punk sur ce blog. Ce sera le troisième morceau, et le premier non hard core ! L'évènement le vaut.
C'est gentil ça.
RépondreSupprimerCamera Silens de cette période, du punk ? De la Oï ?
En tout cas, eux qui auraient pu devenir quelque chose comme Noir Désir ont aussi connu la malédiction des rockers bordelais.
On est toujours sans nouvelles de Gilles à ce jour.
J'avoue que j'atteins là mon seuil d'incompétence Jules : punk, Oï ?... Mais ça m'intéresse d'en connaître davantage : quelle est la différence ? Et qui est Gilles ? Un musicos du groupe qui aurait disparu ?...
RépondreSupprimerL. (le poto qui m'a envoyé le lien vers cette vidéo), tu peux participer aussi si tu veux, ne sois pas timide !
je sors de ma timidité..la oi c'est des morceaux courts (2 à 3 minutes) avec un message politique clair(zina;anar,apo aussi,coco..)le public c'est punk,skin et bonehead..la raya à bien changée depuis les années 80..ses publics ne se mélangent plus..brigada flores magon représente un peu le moment pour les idées que nous défendons..anarmicalement, Ludwig
SupprimerOk, merci pour ces précisions Ludwig, qui précisent encore les précises précisions de Jules. Je vais devenir imbattable sur toutes ces petites catégories.
SupprimerLa oï (abréviation de "Oh, you !", salut cockney) est la musique des skinheads, Petits gars qui, à l'origine, étaient plutôt amateurs de musique jamaïcaine.
RépondreSupprimerL'histoire du mouvement skin étant trèèèèèès complexe, on en restera là.
Quant à Gilles Bertin, premier chanteur de Camera Silens (groupe qui aura connu plusieurs périodes : punk limite cold, oï, rock steady) il a purement et simplement disparu vers 1986.
Ce qui est affirmé sur la fiche wikipedia du groupe n'est pas l'unique version de la chose. Mais comme il existe de nombreuses rumeurs, on ne les colportera pas ici.
Cheers, dear.
salut Jules,
Supprimerle mouvement punk ça se vie...on est dedans ou on est spectateur..comme le reste...après les rumeurs de wikipédia je m'en branle un peu..j'organise un concert avec tentavie de suicide,c'est pas grave dans l'esprit D.I.Y ,viens tu parler après..
Tu m'inquiètes keupon anar, ton concert avec T.S., je suis pas tellement pour... Par ailleurs, je ne sais pas ce qu'il en est dans le mouvement punk, mais ici on suggère plutôt la courtoisie... Sortir de ta timidité, c'est super, oui, mais tel que je te connais habituellement, avec douceur et fraternité, c'est encore mieux !
SupprimerJ'espère que tu vas bien.
Amitiés.
stay rude..
Supprimerjuste une suggestion musicale dans un tout autre genre.."la vérité"de Bernard Lavilliers pour clore l'échange..tu peux de nouveau visionner le documentaire "chez émiles"..les crétins créteux "crasseux""alternos"ne se sont pas défendus,ils ont discuté avec le pouvoir..j'en ai encore probablement pas digéré la pilule..je vous laisse discuter élégamment..
Ludwig
Merci Ludwig, j'aime beaucoup Nanard, malgré ses défauts, son côté macho et viriliste.
SupprimerT'es le bien venu ici, élégance non requise, bienveillance oui.
Amitiés.
Merci pour ces précisions Jules. Je connais un tout petit peu l'histoire des skinheads, qui n'étaient pas fafs à l'origine, et étaient inspirés par ce style de musique et de mouvement. J'ignorais tout en revanche de la disparition et de l'existence de Gilles et de son groupe.
RépondreSupprimerCa pourrait être une idée de thème pour Dans l'herbe, l'émission, dis-donc, le punk, le Oï, et toutes disciplines annexes ou associations d'idées facétieuses, si ça inspire tes collègues aussi...
On en parlera à notre prochaine apéro.
RépondreSupprimerLa bubulle du "Prisonnier" en photo 2 semble bien dérisoire aujourd'hui.
Ça me rend assez nostalgique.
Oui, le "Rôdeur", bien archaïque, en effet. Mais pas la peine de remonter si loin : dans la première saison de The Wire, 2002, série qu'un jeune de mes collègues a qualifiée : "ça fait vieux" (de mémoire et approximativement) quand je la lui ai conseillée ; dans The Wire saison 1 donc, les flics mettent sur écoute... des cabines téléphoniques ! Oui, tu sais, ce truc de vieux que le jeune et dynamique Macron vient de supprimer totalement de nos bourgs et villages !
RépondreSupprimerSi Fatima t'a plu, Wrob, tu devrais essayer de voir Dans la vie, du même réalisateur et tout aussi poignant (et je dis pas cela à cause qu'y joue la maman de la petite J…)
RépondreSupprimerMerci pour le bon plan George, c'est cool de pouvoir te répondre du tac au tac. En effet, rien que le synopsis est alléchant ("Une femme âgée de confession juive voit arriver sa nouvelle assistante de soins avec circonspection. Musulmane pratiquante, celle-ci étonne la vieille dame."). La petite J., ce doit être une jeune fille dont j'ai eu l'occasion de faire la connaissance, mais où ? bd Voltaire ?.. Donc sa maman s'appelle soit Sabrina, soit Ariane, soit Zohra. Je vais chercher le film dans ma médiathèque favorite.
RépondreSupprimerC'est bien cette jeune fille-là, mais sa maman n'a qu'un petit rôle dans le film — l'infirmière fumeuse —, créditée au générique sous un pseudonyme ahurissant que j'ai complètement oublié.
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