mercredi 13 septembre 2017

N'être rien

«Une gare, c'est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien.»
Emmanuel Macron
«Je n'ai basé ma cause sur rien.»
Max Stirner




      Non seulement je ne suis rien, mais je me sens fainéant en ce moment. J'en ai pas branlé une hier. Ah ! si, j'ai pris trois photos. Faut pas vous attendre à plus ni mieux en ce moment.




      En tout cas, j'ai pas vu la botte d'un de ces musiciens ci-dessous. Peut-être parce que j'ai été coincé en queue, pendant trois heures et qu'ils étaient en tête... En tout cas ça m'a plutôt détendu. Je ne sais pas pourquoi, leur présence, si prégnante en 2016, me stresse un peu.


4 commentaires:

  1. Hier, c'était assez soft question poulagats.
    Y parait qu'il y avait des flics de gauche en tête du cortège, devaient pas être plus de deux car je ne les ai pas aperçus !
    Vont toujours par deux ces abrutis !

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  2. Courageux mais pas téméraires... Mais "deux" est vraiment un minimum. Sur le dos d'Adama Traoré par exemple, juste avant sa mort, ils étaient au moins trois. Cela dit c'est vrai que c'était soft mardi. Ça cache certainement quelque chose, je ne pense pas qu'ils aient décidé d'abolir la répression et l'intimidation, mais c'est toujours bon à prendre, on respire mieux, au propre comme au figuré.

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  3. Je pense qu'ils vont faire monter la pression, petit à petit, en mettant plus de flics le 21 septembre et pour la suite...

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  4. Je pense aussi. Bon, on va fourbir nos chaussettes ! ;-)

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Y a un tour de parole !