lundi 14 décembre 2015

Détente culturelle

Les auteurs de chansons à la mode ont depuis toujours vécu du mépris de la signification qu’en bons précurseurs et successeurs de la psychanalyse, ils réduisent à la monotonie du symbolisme sexuel. Adorno / Horkeimer.- Kulturindustrie


Les conseils de la rédaction : les copains, pour Noël, faites-vous offrir utile.

6 commentaires:

  1. On aura tout vu, même le retour du SRCT* pour noël !
    Et remarquez l'élégance du modèle.
    (* L'auteur oublie une lettre : le nom poétique d'époque était bien Slip Remonte Couilles Toulousain.)

    RépondreSupprimer
  2. Le projet de loi du 28 juin 1974 n'a pas réglé définitivement le problème de la contraception, cher Jules. La pilule pour femme n'est une solution ni incontournable, ni unique. C'est le réchauffement climatique qui l'est. Je n'en tiens pas moins à saluer les pionniers toulousains pour leur vision en ce domaine.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Sûr et certain que la pilule n'a rien réglé, Wrob, surtout pour celles qui doivent avaler des trucs pas toujours sains.
      Notre légère ironie vis à vis des dits pionniers venait essentiellement du fait que la méthode était beaucoup plus aléatoire qu'il n'est laissé supposer sur le site " Vade retro".
      Et comme aux dernières nouvelles ce sont encore les copines qui tombent en cloque, cette variante d'Ogino, pour louable qu'elle soit, n'était un peu pas toujours fiable.
      Mais néanmoins sympathique...

      Supprimer
    2. Oui, c'est vrai que je ne peux m'empêcher de sourire en évoquant le SRCT, ça a un côté vrai-faux canular. Mais l'intention est louable, comme tu dis, même si elle a été court-circuitée par l'arrivée du sida et de son incontournable préservatif de latex...
      Abrazos !

      Supprimer
  3. C'est édifiant !
    L'habit(e) m'en tombe.
    A moins que ce soit le vit qui me lâche.
    Promis, craché, je n'en referai plus d'aussi lamentables.
    Blaireau 58

    RépondreSupprimer
  4. Mes articles sont aussi là pour que les membres de la blogosphère se dressent, cher Blaireau, et courent sus aux cons !

    RépondreSupprimer

Y a un tour de parole !