- Tandis que se faisait la rumeur du quartier,
En bas, - seul et couché sur des pièces de toile
Écrue, et pressentant violemment la voile !
Arthur Rimbaud
Le père Fred saute les générations, et fait encore rêver les poètes de sept ans,
comme il a fait rêver leurs aînés, échoués sur le troisième "A" de la Quarantaine.
Rêve bien mon chéri, demain il y a de l'école, et après la poésie,
les sciences du vivant !
Ciao Marcel !
Rêve bien mon chéri, demain il y a de l'école, et après la poésie,
les sciences du vivant !
Ciao Marcel !
La Plèbe écoute tout le temps :
Lundi soir 5 décembre : Dans l'herbe tendre (chanson française). Thème du mois : les flics.
Un très chouette documentaire sur la bd de notre enfance avec la bande dont Fred faisait partie :
RépondreSupprimerhttps://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-de-la-bande-dessinee-24-ndeg595-avril-1971-quand-pilote
Salud !
Merci Jules ! Moi je me fais l'intégrale Barbe rouge, lu dans le désordre et incomplètement quand j'étais minus. C'est de la BD à la papa, mais qu'est-ce que c'est bon ! J'envisage de plus en plus les Blueberry si l'univers me prête vie.
RépondreSupprimerAu moins de Fort Navajo à Angel Face, Blueberry est à lire sans modération.
SupprimerÇa m'a tenu en haleine toute mon enfance : la mort de Crowe m'a foutu le cafard pour un mois au moins.
Ciao Marcel.
Voilà qui m'encourage dans mes projets. So long, gringo !
SupprimerRencard à Chihuahua, Red Neck et Mac Cure ont déjà réservé les piaules.
SupprimerSi Fred nous a initiés à la poésie, Gotlib nous a initié à la science.
RépondreSupprimerRIP lovely !
https://1.bp.blogspot.com/-ID7Oy4XCmD4/WERY8BuryoI/AAAAAAAAC4E/Ydp1TmdNJqIDwfVtwjZHsMpETCLDBUU8gCLcB/s72-c/Image%2B10.png
http://next.liberation.fr/arts/2014/04/11/gotlib-en-marcel-retour-sur-la-vie-du-genie-de-la-derision-des-annees-70_995600
RépondreSupprimerJe parlais des sciences du vivant bien sûr, parce que pour ce qui est de l'insertion d'une image dans un commentaire de blog, je n'ai rien retenu...
Ne serais-tu pas de ces théoriciens du genre qui veulent salir nos enfants ? Ah ! non, je vois le choux et la rose, la morale est sauve ! Tu pourras retourner avec profit sur l'article ci-dessus...
RépondreSupprimerA+
"Dors dors mon petit ange si tu es gentil
RépondreSupprimerLe marchands de poudres blanche passera cette nuit
Dors dors mon petit anges ne sois pas inquiet
Le marchand de poudre blanche apportera les sachets
A la tombé de la nuit il rentre dans les maisons
Il dépose aux pieds du lit des gentils garçon
La coco des enfants sages ... "
Laisse-moi deviner... Casse pipe (le groupe) ?
RépondreSupprimerAh ! ou Metallica, traduit ! Oui ! Enter Sandman ! Non ?
RépondreSupprimerBon, c'est pas Fréhel, ça, c'est acquis.
RépondreSupprimerNon, tu n'y es pas du tout, Wrob.
RépondreSupprimerFigure-toi que le parolier n'est autre qu'un prix Nobel !
Magnifique disque, au demeurant — dommage que ce soit le seul.
Zut alors, deux fois que je réponds, deux fois que ça me zappe mon message à l'aperçu !
RépondreSupprimerAh ! Sans aperçu ça marche. Je recommence donc. Un prix Nobel donc. Comme je suis joueur je ne fais pas de recherche sur le net. De littérature, le prix, I presume... L'interprète est-il Suisse ?
RépondreSupprimerAlors, nous n'étions pas à l'écoute hier soir à l'heure de l'apéro ? Ou bien nous séchâmes sur l'Assassin... Je n'ai pas trouvé non plus soit dit en passant.
De littérature, oui, mais l'interprète n'est pas plus suisse que Bob Dylan…
RépondreSupprimerAïe, je crois qu'il va te falloir racler les fonds de tiroirs — au risque de tomber sur une alliance maléfique !
Hé non, je n'étais pas à l'écoute, à mon grand dam : j'ai tout simplement oublié que c'était hier ! J'enrage de ma bêtise…
C'est bien la peine de passer des annonces....
SupprimerOuaipe, mais c'est moi le plus marri dans l'histoire !
SupprimerPeut-être un acte manqué, sachant que je kiffe nettement plus les roberts que la rousse…
Alors... Je suis nul en prix Nobel en plus... Est-ce une femme ? Sagan prenait de la coke, mais Yourcenar a été nobelisée, non ?...
RépondreSupprimerDylan... L'interprète est-il mort récemment ?
Sommes-nous franco-français ?...
Ca pourrait être du Rodriguez, style Sugar man, mais je case pas de Nobel là-dedans, ou alors Mandela...
Non, Yourcenar n'a pas eu le Nobel, mais c'est la première femme qui a été élue à l'Académie Française. Et puis franchement, je l'imagine mal écrivant cela…
RépondreSupprimerOui, c'est franco-français mais le disque est trop méconnu.
La ligne de ta mémoire te semble incertaine ? Desserre-toi la ceinture, un boulevard te mènera droit aux cieux de la certitude vers la place de l'étoile !
Bon, nous avons trouvé, ma mère m'a aidé. Il s'agit de Patrick Modiano. Mais est-ce lui qui chante ses paroles ? En effet, ce disque doit être un document rare, et je me demande bien où Romain Berthe a bien pu entendre ça. Un tuyau à refiler aux potes fumeurs d'herbe tendre, à moins qu'ils n'en aient déjà parlé...
RépondreSupprimerA bientôt pour un nouveau jeu !
Bravo ! Modiano effectivement, tiré d'un disque inconnu et chanté par Hughes de Courson (co-fondateur de Malicorne et spécialiste du métissage de musiques). Le titre : fond de tiroir ! 1967 pour l'année, à l'époque les 2 acolytes usaient leurs fonds de culotte sur les bancs du lycée Henri IV.
RépondreSupprimerEncore Bravo, Casse Pipe a largement puisé dans cet album : Mélé Cass, La coco, Les escaliers...
Ah ! J'avais donc raison dès le début, c'est bien par Casse pipe que j'avais, il y a fort longtemps, entendu ces paroles ! Ca me rappelle Lamballe d'ailleurs, et toute cette jeunesse tumultueuse et trop destroy, malheureusement.
SupprimerOn va donc rechercher cette curiosité qui m'a l'air 'acrèment introuvable.
SupprimerMerci pour la trouvaille, les aminches.
Ne pensez pas m'y trouver, Shalazur, qui niquez toutes mes astuces pour Wrob !
RépondreSupprimer(Mais peut-être que de courts sons ne produisent-ils que de sourds cons ?)
"Fonds de tiroir", c'est le titre de l'album, et l'alliance maléfique est évidemment un maudit anneau.
Quant aux boulevards de ceinture, à Catherine Certitude et à la place de l'étoile, demandez donc à votre mère !
Ou plutôt, ouvrez donc un manuel de savoir-vivre, un de ces jours !
Vous êtes dur avec Shalazur, George, qui apparemment a bien su se connecter à votre esprit facétieux, plus rapidement que moi en tout cas, qui pourtant navigue souvent sur vos longueurs d'onde. Mais je faisais sans le net, c'était le handicap, et je connais mal Momo.
SupprimerTu as raison, je me suis emporté hier soir, j'avais les boules de voir le joujou ainsi réduit en miettes.
SupprimerMes excuses à Shalazur, donc, pour cette vindicte pusillanime !
Pas de souci George, surtout que Shalazur c'était moi, sur un portable d'emprunt... :-)
SupprimerPour avoir rencontré le bonhomme en Indonésie (et vidé quelques bouteilles avec lui, bouteilles jaunes, de plongée bien sûr), je peux vous dire qu'il vaut mieux passer une soirée avec Hughes de Courson qu'avec les oeuvre complètes de Patrick Modiano...
RépondreSupprimerJe n'ai lu que Villa triste au lycée. Aucun souvenir, si ce n'est d'une atmosphère nostalgique qui ne m'avait pas rendu indifférent, et m'affecta d'émotions douces amères, comparables à celles que je ressentis pour Le Grand Meaulnes, même si littérairement il n'y a sûrement rien à voir.
SupprimerLittérairement, peut-être, mais tu n'as pas tort concernant la similitude d'atmosphère : les deux œuvres sont semblablement empreintes de nostalgie, du sentiment du passé irrémédiablement perdu.
SupprimerJe ne saurais trop te conseiller Dans le café de la jeunesse perdue, où l'on croise une amante de Debord et Maurice Raphaël, alias Ange Bastiani.
C'est noté, et un de plus sur la pile, un !
SupprimerTiens, j'avais compris que Shalazur, c'était Wrob grimé. Peut-être parce qu'une indiscretion m'a fait savoir que Wrob avait une mère. Apparemment ça arrive à d'autres aussi.
RépondreSupprimerPour que tu ne te perdes pas dans la nuit m'a laissé sans voix. Perplexe. Je crois que je suis passé à côté de l'essentiel.