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vendredi 12 janvier 2018

Les bons plans de Tulipine et Yamina*

   Bof ! Je sais plus quoi fiche sur ce blog. Heureusement les deux jeunes mamans avec qui je passe le plus clair de mon temps enfermé, Tulipine, franco-ivoirienne catholique et Yamina kabyle franco-algérienne musulmane, m'ont fait connaître il y a peu les vidéos des humoristes ci-dessous. Ne pratiquant pas la contemplation de l'écran de diffusion idéologique familial, et n'ayant pas le temps de hanter les cafés-théâtres, la vie est faite de choix cornéliens, je ne connais aucun jeune humoriste. J'en suis resté à Coluche et Desproges. Le fait que je sois contraint d'user de l'écran interactif idéologique en réseau détournable pour mes activités professionnelles me permet aujourd'hui de partager avec les vieux ou les aigris hargneux critiques du monde spectaculaire-autoritaire-marchand-anéantisseur à terme de toute vie sur terre tel qu'il va comme moi ces aimables divertissements. On n'est pas toujours d'accord avec ces collègues, mais j'avoue que là, je n'ai pas été sans sourire, c'est fort. Merci à elles, d'autant que j'ai déjà partagé ici l'un des bons plans indispensables transmis par Yami.

* Les prénoms ont été changés.






Rien à voir, mais en hommage

Et de trois, l'As de pique est en deuil, le brelan qui l'a créé didn't live forever :

lundi 8 février 2016

Le Lemmy du jour II

  Deuxième album, le titre qui donna le nom au groupe, mais qui fut d'abord écrit pour la précédente formation de Lemmy, Hawkwind. C'est les trois premiers Pieds nickelés aux manettes, le trio légendaire : « Fast » Eddie Clarke, Philthy « Phil » Animal Taylor, le chouette et marrant batteur au look et à la gueule n'ayant presque rien à envier à ceux de Lemmy, et bien sûr le Kilmister himself. Philthy et Lemmy sont restés très proches jusqu'au bout, à telle enseigne que l'Animal est mort un mois avant le bassiste chanteur.

  Ici, ce devait être dans une émission de télé (non partisan du pléonasme, je ne rajoute pas "débile") au décor de bonbon acidulé, avec des rangées de minets dans le public. Du play back j'en ai bien peur, malgré les micros, qui doivent faire de la figuration. Les trois mousquetaires du rock graisseux sont un peu là comme des chiens fous dans un jeu de billes...


Y a d'ça...

  Et pour nos amis toulousains, soirée spéciale !

vendredi 22 janvier 2016

Le Lemmy du jour

«J’emmerde ces mecs qui ont survécu aux années 70 et qui entretiennent leur réputation de génies du rock dans des palaces. Lemmy, il voulait juste faire un nouvel album en buvant du whisky-coca.»
                                                                                  Dave Grohl, batteur de Nirvana.

  Pas très inspiré en ce moment. Alors on va s'écouter un petit Motörhead, Iron horse. Je ne pense pas que Lemmy pensait au train de banlieue quand il a écrit cette chanson. Avec son mode de vie rock'n'roll, il a pas dû se faire chier à le prendre quotidiennement comme les employés émasculés que nous sommes, mes collègues et moi. J'imagine :

Sur l'train d'la ligne H pour St-Denis il vole,
Sur l'train d'la ligne H pour Epinay-Villetaneuse il mourrait avec bonheur,
L'train d'la ligne H
est sa femme !
L'train d'la ligne H
est sa vie !
Tin tin tin tin tin tin, tin tin tin...

  La musique de Motörhead à ses débuts était très punk rock, avant de devenir de plus en plus métal. L'esprit punk, lui, est resté jusqu'au bout. Dans ce titre, issu du premier disque (On parole), on ne reconnait pas le gros son qui tache. Rythme lent, basses et guitares non saturées, voix de Lemmy non rauque. Un bon petit rock garage qui, avec d'autres titres du même opus, seront repris par la suite en plus graisseux, en plus lourd dans le bon sens du terme, en plus trash, en plus speed, en plus hard core, dans l'album Motörhead.

mardi 29 décembre 2015

Killed by death

Bad news, l'As de pique à joué sa dernière carte...

Quand on a été biberonné à ça dès l'enfance, difficile de pas trouver d'autres formes de rock'n'roll (même si on garde les étiquettes ouvertes et qu'on reste avide de nouvelles découvertes) un peu désincarnées.

On avait aussi pu l'apprécier dans ce appel à boulotter du râble de rupin.

Cette fois, plus de doutes, Dieu est bien mort.