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vendredi 30 novembre 2018

Sacqueboute XLII : Yves Robert

   A ne pas confondre avec la savoureux et réjouissant réalisateur de cinéma.


   L'Argent nous est cher, de l'album l'Argent, nous permet d'assister au cours d'économie pour les nuls de la magnifique chanteuse (et comédienne) Elise Caron, dont on se rappelle la participation au spectacle la Chose Commune, sur la Commune de Paris. Elise, si je puis me permettre de l'évoquer par son prénom, a participé également à des tas d'autres projets décalés et surprenants, parfois difficilement audibles pour des non-avertis comme moi, entre autre un truc sur le marquis de Sade...

Priviouslillonne Sacqueboute :

Daniel Casimir
Gary Valente
Chicago
Moon Hooch
Raymond Katarzynski
Albert Mangelsdorff
Christiane Bopp
Honoré Dutrey
Viscosity
Fred Wesley
Dave Lambert
Roswell Rudd
Curtis Fowlkes
Melba Liston
La Flûte aux trombones
La Femme tronc
Journal intime
Gunhild Carling
Nils Wogram et Root 70
Carl Fontana
Animaux
Trombone Shorty
Cinéma
Feu
Le Canadian Brass
Local Brass Quintet
Buddy Morrow
Bones Apart
J.J. Johnson
Lawrence Brown
Vinko Globokar
Les funérailles de Beethoven
Treme
Craig Harris
Mona Lisa Klaxon
Juan Tizol
Bob Brookmeyer
Daniel Zimmerman
Frank Rosolino
Rico Rodriguez
Kid Ory

vendredi 13 juillet 2018

Bonnes vacances !

   Demain le 14 juillet. Bon, eh bien encore une année bien remplie, bien dégueulasse, malgré les quelques satisfactions et/ou micro-victoires qu'on aura pu lui arracher. L'heure est à la mise au vert, et au farniente. Ahhh !!! oublier pendant quelques semaines tout ce merdier, en tâchant de ne pas trop collaborer à l'alimentation de la méga-machine économique qui nous gouverne par le biais du tourisme.
Cela peut passer par cultiver son jardin :


   Manger des choses saines, naturelles, équitables.


Circuler ! circuler ! d'environnements en environnements, comme l’influx nerveux qui contracte nos muscles et nous fait vibrer !


   Adopter des pratiques climato-responsables, une sagesse sans GES, introduire la modernité et l'innovation dans les congés payés.


   Et pourquoi pas, faire l'amour dans l'herbe tendre...


   Les plus bourlingueurs pourront, après Manu, aller jusqu'en Amérique "Indo-afro-latine" (non mais je vous jure !) contempler l'avancée de la civilisation : après tout, le sourire de la mariée vaut bien quelques arbres coupés...

Mine d'or de Guyane

   Bonnes vacances à toutes et à tous !

vendredi 22 avril 2016

Intertextualité

Vous vous souvenez peut-être de ces pauvres carmélites, s’en allant gaiement curer leur fosse à merde avec au cœur l’amour du Seigneur, et n’en ressortant finalement que les pieds devant, enfin c’est une métaphore (et une métonymie à la base, non ?), vu que pour retirer quelqu’un d’un trou, on est plutôt contraint à une certaine verticalité, et même dans l’hypothèse où on évacuerait le cadavre carmélite par les pieds (ce qui n’est pas forcément le cas, on pourrait le tirer par les aisselles), les pieds seraient en l’occurrence en haut, et non devant. C’était narré ici.

Fosse (cabinets) du couvent des Trappistines de Laval.

Eh bien, troublante magie des correspondances textuelles, nous avons très récemment découvert l’extrait suivant, dont l’anecdote finale n’a pas été sans faire naître en nous cette impression de déjà lu si étrange que nous connaissons tous. Elle ne fait néanmoins et a contrario que confirmer en nous la foi en cette maxime frappée au coin de la sagesse populaire, de la common decency la plus élémentaire eut dit Orwell qui l’illustra lui-même dans sa Ferme des animaux : qui n’aime pas les animaux n’aime pas les humains.

On nuancera cependant la thèse défendue ci-dessous, en rappelant que de sains recyclages sont encore possibles, même s'ils restent insuffisants face aux centaines de millions de tonnes annuelles de déjections de type fécal de l'industrie de l'élevage en France, par exemple.

   "Revenons donc à notre question de départ : qu’advient-il de cette masse de merde extrêmement dangereuse ?

Xavier Beulin, ministre de l’agriculture, patron du groupe producteur de pesticides (poisons) Avril, du MEDEF de l’industrie agro-alimentaire, la FNSEA, et de ses SA (sturmabteilungen) départementalisés casseurs de zadistes des FDSEA.

   Si tout se déroule conformément au plan, les déchets liquéfiés sont rejetés dans d’immenses « mares » creusées près des porcheries. Ces mares toxiques s’étendent parfois sur plus de 11 000 mètres carrés – autant que les plus grands casinos de Las Vegas – et atteignent jusqu’à dix mètres de profondeur. La création de ces latrines aussi grandes que des lacs est considérée comme normale et est parfaitement légale, en dépit de leur incapacité constante à effectivement absorber les déchets. On peut trouver jusqu'à une centaine de ces puisards géants dans les environs d'un seul abattoir (les élevages industriels ont tendance à s'entasser autour des abattoirs). Si vous tombiez dans l'un d'entre eux, vous mourriez. (Tout comme vous mourriez d'asphyxie en quelques minutes si le courant était coupé dans une porcherie industrielle où vous vous trouveriez.) Tietz rapporte une histoire terrifiante au sujet d'une de ces mares : "Etourdi par l'odeur, un ouvrier du Michigan qui travaillait à la réfection d'une mare est tombé dedans.

Stéphane Le Foll, son chef de cabinets.

Son neveu de quinze ans a plongé pour le sauver, mais il a perdu conscience, le cousin de l'ouvrier s'est jeté dans l'étang pour sauver l'adolescent, mais il s'est évanoui, le frère aîné de l'ouvrier a voulu y aller à son tour, et a lui aussi perdu conscience, puis le père de l'ouvrier a plongé. Ils sont tous morts dans de la merde de porc.""
Jonathan Safran Foer.- Faut-il manger les animaux ?

Bakounine, sympathique ardéchois, a de la chance : il connait la lumière du soleil et le parfum du vent.

 Espiègle, facétieux, joueur, comme tous ses congénères, il adore qu'on l'arrose au jet.

 Non manipulé génétiquement, il ne se nourrit pas d'antibiotiques, ni d'hormones, son caca sent bon.

Et celui-ci pourra, avec ceux de Louise et de Carlo, être absorbé par la nature environnante, et la fertiliser, car nos amis ne sont pas des milliers confinés dans un hangar, mais tous les trois. Y a de la marge.

"Autant que les plus grands casinos de Las Vegas": ils sont vraiment dingues ces américains. Heureusement, nous, nous avons le cochon bien de chez nous, le cochon breton ! Alors pour une extraction de minerai de viande de porc française (oui Monsieur !), et de qualité ; avec Xavier Beulin, la FNSEA, Stéphane Le Foll et tous les entrepreneurs du secteur, scandons avec conviction nos vrais valeurs contre les agents de l'étranger extrémistes, écologistes et/ou végétariens : Nation, Extraction, Eutrophisation !

vendredi 15 avril 2016

Jouons un peu avec l’inventaire de pré bleu

Quelle différence y a-t-il entre :

la raie manta, le diable de mer, la raie douce, le requin babosse, le requin cuivre, le requin des Galapagos, le requin gris, le requin de nuit, le requin taureau, le grand requin blanc, le requin-marteau,


l’aiguillat commun, l’aiguillat cubain, le requin renard à gros yeux, le requin taupe bleu, le requin peau bleue, le wahoo, le marlin voilier, la bonite, le thazard barré, le thazard atlantique, le makaire bécune,


le makaire blanc de l’Atlantique, l’espadon, la lanterne de Kroyer, le baliste cabri, l’aiguille, la castagnole, la carangue, le centrolophe noir, le coryphène, le Cubiceps pauciradiatus, le poisson porc-épic,


la comète saumon, l’anchois, le mérou, le poisson volant, la morue, l’hippocampe, la calicagère blanche, le poisson royal, l’escolier noir, la liche, le triple queue, la baudroie, le poisson-lune, la murène,


le poisson pilote, l’escolier à long nez, le cernier commun, le tassergal, l’otolithe, le tambour rouge, la sériole couronnée, la sériole, le pagre commun, le barracuda, le poisson globe, la tortue caouanne, la tortue verte,


la tortue luth, la tortue imbriquée, la tortue de Kemp, l’albatros à bec jaune, le goéland d’Audoin, le puffin des Baléares, l’albatros à sourcils noirs, le goéland marin, le puffin majeur, le pétrel noir, le puffin gris,


le goéland argenté, la mouette atricille, l’albatros royal, l’albatros à cape blanche, le puffin fulgineux, le fulmar antarctique, le puffin yelkouan, le goéland leucophée, le petit rorqual, le rorqual boréal, le rorqual commun, le dauphin commun, la baleine franche, le globicéphale, la baleine à bosse, la baleine à bec, l’orque, le marsouin commun, le grand cachalot, le dauphin bleu et blanc, le dauphin tacheté de l’Atlantique, le dauphin à long bec, le grand dauphin et la baleine à bec de Cuvier ?

SOLUTION

Eh ! ben dites-donc vous, vous n'êtes pas très joueurs... Enfin, on vous pardonne, on sait que vous passez vos nuits debout, bravo !

Donc je vous apporte la solution : aucune !


Les êtres cités ci-dessus font partie des 145 espèces tuées de façon routinière - et gratuite - lorsqu'on pêche le thon. Imaginez que l'on vous serve une assiette de sushis. Si l'on devait y présenter également tous les animaux qui ont été tués pour que vous puissiez les déguster, votre assiette devrait mesurer un peu plus d'un mètre cinquante de diamètre.


C'est ce qu'on appelle le bycatch (prise accessoire). Cela désigne les créatures marines capturées accidentellement - sauf que ça n'est pas vraiment un "accident", puisque le bycatch a été sciemment intégré aux méthodes de pêche modernes. La pêche actuelle a tendance à avoir recours à de plus en plus de technologie et à de moins en moins de pêcheurs. Cette combinaison entraîne des prises massives accompagnées de quantités énormes de prises accessoires. Prenons les crevettes par exemple. Une opération routinière de chalutage de crevettes rejette par-dessus bord, morts ou agonisants, entre 80 et 90 % des animaux marins ramenés à chaque remontée du chalut. (Une bonne partie de ce bycatch est composé d'espèces menacées.) Les crevettes ne représentent en poids que 2 % de la quantité d'aliments marins consommés dans le monde, mais 33 % du bycatch mondial. Nous n'y pensons guère car nous n'en savons rien. Que se passerait-il si l'étiquetage d'un produit indiquait combien d'animaux ont été tués pour que celui que nous voulons manger se retrouve dans notre assiette ? Eh bien, pour ce qui concerne les crevettes d'Indonésie, par exemple, on pourrait lire sur l'emballage : POUR 500 GRAMMES DE CREVETTES, 13 KILOS D'AUTRES ANIMAUX MARINS ONT ÉTÉ TUÉS ET REJETÉS A LA MER.

Bon, allez, je vous laisse, la DRH intérimaire nous a donné l'après-midi, je dois être le seul resté ici pour blogger. Demain je pars à St-Malo. Nous avons prévu de nous faire un plateau de fruits de mer.

Des extraits et des reformulations du livre de Jonathan Safran Foer : Faut-il manger les animaux ? ont été utilisés pour cet article.

vendredi 1 avril 2016

Les Bourgeois, les Consommateurs et nous

« Ainsi, lorsqu’un Français consommateur croise le chemin d’un Français politisé, ce n’est pas tant un ami ou un ennemi qu’il rencontre mais une énigme.


Qui est cet humain qui s’entête à défiler une fois par semaine sous des pluies torrentielles d’eau ou de gaz, alors qu’il a parfois mal au pied (c’est là son talon d’Achille),


s’emmerde des heures durant en AG au lieu de surfer peinard ou de faire ses courses sur internet au chaud au bureau,


distribue des tracts tôt le matin au lieu de dragouiller en terrasse tard le soir


et cotise mois après mois, année après année pour la caisse de grève ou le soutien aux luttes sociales plutôt que d’économiser pour la belle voiture, la belle maison ou la belle tablette ?


Qui est cette créature insensée à qui on a offert l’Economie sur un plateau d’argent mais qui s’obstine à se tourner vers l’égalité sociale et la liberté tel un tournesol que seul le soleil peut subjuguer ?


Cette créature sait quelque chose qui échappe à la Raison travailleuse-consommatrice. »



Texte librement inspiré d'un extrait du dernier (premier ?) livre de Houria Bouteldja.

vendredi 13 novembre 2015

Priorité emploi !

   Au début de la carrière policière d’Anthony Cappelletti, un personnage doté d’un poste élevé s’était dit que c’était l’homme rêvé pour la brigade de la lutte contre le crime organisé*. Il était italien, bien sûr ; mais de plus, il parlait l’italien, il avait grandi dans les quartiers de Little Italy, il était allé à l’école avec les fils et les neveux des capos et des hommes de main (qui un jour formeraient la génération suivante des capos et des hommes de main), et surtout, Anthony Cappelletti haïssait la Mafia*. […]



Dès le départ c’était ce dégoût de la Mafia qui l’avait incité à devenir policier, et la sincérité évidente de ses sentiments avaient conduit ses chefs à le charger de la lutte contre le Crime Organisé.



   Qu’il mena pendant quatre mois. […] Il leur parla si souvent et si fort qu’en quatre mois il parvint à compromettre sérieusement la loi et l’ordre dans la bonne ville de New York. Le langage de Cappelletti était clair comme de l’eau de roche : pièces à convictions trafiquées, faux témoignages, intimidation de témoins, falsification de dossiers, subornation de jurés, écoutes illégales, interrogatoires musclés et, à l’occasion, une bonne fusillade dans la vitrine d’un restaurant.



Il semblait avoir décidé d’éliminer complètement la Mafia de la surface du globe, en commençant par New York, de le faire tout seul, et d’avoir fini à Noël. En quatre mois, Cappelletti n’avait tué personne, mais il avait brisé tant de membres, détruit tant d’automobiles et de magasins de pompes funèbres et envoyé derrière les barreaux tant de mafiosi*, que les patrons du Syndicat* organisèrent au Bahamas une conférence au sommet très confidentielle et résolurent de lancer la contre-attaque la plus impitoyable de leur histoire.


   Ils menacèrent de quitter New York.


   La rumeur fit son chemin, sourde mais claire. Dans le passé, certes, New York s’est déjà sentie abandonnée : les New York Giants sont partis pour les marécages du Jersey, l’American Airlines s’est installé à Dallas, des dizaines de sociétés ont déplacé leur siège social au Connecticut, et même la Bourse, à un moment donné, a annoncé son intention de déménager. Mais si l’on veut se représenter un vrai désastre, on n’a qu’à penser à ce que deviendrait New York si la Mafia s’en allait comme un seul homme.



Toutes les entreprises gérées par des truands, qui s’en occuperait une fois les gangsters* partis ? Les pitres qui les avaient déjà menées à la banqueroute, et n’avaient pu s’en sortir que grâce à des prêts d’origine douteuse, qui avaient permis aux truands de prendre la tête des affaires.




Que deviendraient ces restaurants, ces blanchisseries, ces sociétés financières, ces marchands de voitures, ces sociétés de nettoyage et de ramassage des ordures, ces supermarchés, ces entreprises de camionnage ou de gardiennage, sans la compétence, la discipline, les assises financières que leur assure le contrôle par le Syndicat du Crime ? On frémit en se figurant l’avenir de New York si les sociétés y étaient gérées par leurs propriétaires nominaux.


   De plus, pensez à tous ces policiers, ces politiciens, ces journalistes, ces dirigeants syndicalistes, ces fonctionnaires municipaux, ces avocats, ces comptables, ces chargés de relations publiques, qui sont payés directement par la Famille. Est-ce que la ville de New York gagnerait à perdre un pareil employeur, à perturber à ce point le marché du travail ?

Donald Westlake.- Pourquoi moi ?




Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, que de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne.

Jean-Jacques Rousseau.- Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.


* Remplacer au choix par : les investisseurs, les aménageurs, les entrepreneurs, les patrons, les grands bourgeois, l'oligarchie, l'élite, les capitalistes, les riches, le marché, le plan, les décideurs, les gestionnaires, les responsables, les pollueurs, les exploiteurs, les empoisonneurs, les contamineurs radioactifs,  etc., ad libitum.

Abolition de l'emploi ! On y pense depuis trois siècles, maintenant il faut y croire !

Nous remercions nos généreux partenaires sans qui cet article n'aurait pu être édité. Nous leur savons particulièrement gré d'avoir bien voulu prendre sur leur emploi du temps on ne peut plus chargé actuellement par leur mécénat humaniste et philanthrope de la COP21.

mardi 17 mars 2015

Jouons un peu avec les filous !

"Un voleur est un homme rare ; la nature l'a conçu en enfant gâté ; elle a rassemblé sur lui toutes sortes de perfections : un sang-froid imperturbable, une audace à toute épreuve, l'art de saisir l'occasion, si rapide et si lente, la prestesse, le courage, une bonne constitution, des yeux perçants, des mains agiles, une physionomie heureuse et mobile, tous ces avantages ne sont rien pour le voleur, et forment cependant déjà la somme de talents, d'un Annibal, d'un Catilina, d'un Marius, d'un César."

Chers ! Comme vous le constatez, sur ce blog, il va y avoir pleins de jeux ! Ouais ! Le tout sans emprunter d'hélicoptère : profitez-en !

Donc qui a écrit le petit paragraphe là-haut ? Deux tickets de RER pour aller se promener en forêt les 22 et 29 mars pour l'heureux gagnant ! N'utilisez pas Google ou assimilé, c'est trop facile :

- Georges Darien ?



- Donald Westlake ?



- Maurice Leblanc ?



- Honoré de Balzac ?



- Pierre-Joseph Proudhon ?



- Pierre Souvestre et Marcel Allain ?



Voilà, et après le divertissement, à l'ouvrage :

- demain ;

- jeudi ;

- samedi.