mardi 14 avril 2020

Correspondances de confinement

   En quelques jours, en confinement, écho, chantant quand bruit on mène, m'a renvoyé des évocations de certaines de mes icônes, ayant fait le modeste et intime mais néanmoins partagé objet de posts de ce blog. En fait d'objets il s'agit d'humains ayant apporté au monde beauté, intelligence et désir de batailler contre l'oppression millénaire et pour une union libre et fraternelle du vivant.

   Pour commencer, rappelez-vous :


   Dans cet articule je partageais mon enthousiasme pour les films d'Akira Kurosawa, notamment à travers L'Ange ivre et Barberousse.


   Eh bien vous pourrez en savoir beaucoup plus sur ces deux films dans cet article.

***

   Je vous avais également communiqué mon grand intérêt, tâtonnant vu mes limites intellectuelles, un intérêt peut-être sentimental et teinté d'un romantisme qu'il aurait probablement condamné, pour Walter Benjamin, précisément en l'occurrence pour son ouvrage Sur le concept d'histoire.


   Eh bien j'ai trouvé un certain éclairage sur ce texte-là dans ce texte-ci. Attention, v'là la haute volée philosophique qu'évidemment je ne prétends pas avoir intégralement comprise. 

*** 

   Enfin, vous n'avez certainement pas oublié ce tromboniste, Lawrence Brown, membre de l'orchestre de Duke Ellington, et compositeur du tube Caravane.


   Vous l'avez compris, magie des correspondances, en écoutant au pieu l'album du pianiste sud africain Abdullah Ibrahim qu'un pote m'a prêté, Dream time, j'ai découvert ce titre, en son hommage :

Ça ne ressemble pas du tout à du trombone pourtant. Étonnant, non ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Y a un tour de parole !