lundi 19 mars 2018

Libérééé !

    Hier la nature avait revêtu son grand manteau blanc (tavus la métaphore ?). J'aurais peut-être eu envie d'une autre météo il me semble, pas que j'aime pas la neige, loin de là, mais là, le 18 mars (vive la Commune !), ça commençait un peu à bien faire...

    Du coup, je suis parti dans le Klondike !


    Vous savez peut-être qu'à la rédaction de La Plèbe, Jack London fait partie de notre panthéon littéraire. Ce dessin animé est dès le début beaucoup moins violent que le livre (pas d'hommes dévorés par des loups, par exemple, et les maltraitances animales et autres rixes à mort ne sont que suggérées), mais il m'a semblé bon.


    En tout cas j'ai pleuré à chaudes larmes, ça m'a réchauffé, mais j'avais les sinus explosés en sortant.

    Ma dernière actu ciné.

4 commentaires:

  1. Marrant comme les adaptations en dessin animé des romans prennent tellement de liberté avec l'original.
    Des fois, ça peut se justifier, des fois, ça tient de la trahison pure et simple.
    La palme en revient sans doute à la version britannique révisionniste trotskiste de "La ferme des animaux" du grand George où ils ont carrément changé la fin.

    RépondreSupprimer
  2. En plus Animals farm était un dessin animé pour adultes. Ici il y a une intention aussi pour un public de nabots. Mais il me semble que malgré les libertés prises par rapport l'original, la Ferme m'avait bien plu quand je l'ai vue, assez effrayant et édifiant, même si le bon chef révolutionnaire était peut-être paré de trop de nimbe, comme si un barbichu commandant armes sur la tempe au prolétariat d'être libre valait mieux qu'un moustachu. Or ? Well ! Je ne me souviens plus bien...

    On peut voir aussi un bon dessin animé, pour adultes également (tu m'étonnes...) mettant en scène des animaux, ici.

    RépondreSupprimer
  3. Maintenant que j'y repense, celui que j'ai vu est peut-être la version américaine de propagande anti-soviétique, je ne sais plus, il faudrait que je revoie le graphisme. Mais j'avais bien aimé. En plus pour moi c'était tout nimbé de l'ombre du grand Jojo, j'avais pas cherché plus loin (je crois que je n'ai lu le livre qu'après, et en anglais, autant dire en ne comprenant pas un mot sur 10).

    RépondreSupprimer
  4. Maintenant que tu le dis, le dessin animé est peut-être américain.
    Son trotskisme ne tient pas tant à la représentation d'un cochon barbichu qu'en la conclusion d'une prolongation de la révolution triomphante.
    Toujours cette théorie d'un état révolutionnaire dégénéré qui, correctement orienté... et patati et patata.

    RépondreSupprimer

Y a un tour de parole !